57 % de propriétaires : comment débloquer l’accès ?
Un désir massif, une réalité qui patine
Depuis plus de vingt ans, vous entendez que les taux ont été longtemps bas et que « c’est le moment d’acheter ». Pourtant, la proportion de ménages propriétaires en France reste figée autour de 57,4 %, alors que 75 à 80 % des Français déclarent vouloir devenir propriétaires. Autrement dit, l’envie est là, mais la concrétisation cale. Contrairement à une idée répandue, ce n’est pas d’abord un sujet de refus bancaires : un dossier propre, lisible et bien monté trouve majoritairement preneur. Le véritable frein tient davantage au marché lui‑même : une offre de logements insuffisante et des prix durablement élevés par rapport au pouvoir d’achat des ménages.
Logements rares, prix élevés : le cœur du problème
Quand les biens se raréfient, les prix montent, les vendeurs attendent, et les acheteurs se heurtent à une marche trop haute. Le phénomène s’auto‑entretient : moins de biens à la vente, moins d’entrées pour les primo‑accédants, moins de mobilité pour tout le monde. C’est précisément là que mon métier prend tout son sens. Mon rôle est de rendre finançable un projet qui paraît borderline. Concrètement, je mets en concurrence les banques, j’optimise la durée et la structure de votre crédit immobilier, et je veille à la cohérence globale du plan (apport, frais, reste à vivre), afin de transformer une bonne intention en accord de prêt réaliste.
Le taux fixe rassure… mais fige la mobilité
Nous aimons – à juste titre – la sécurité du taux fixe. Sauf qu’un ancien prêt à 1 % rend psychologiquement difficile toute revente pour racheter à 3‑4 %. Conséquence : des propriétaires restent en place, les biens circulent moins, et ceux qui veulent entrer sur le marché subissent la pénurie. Là encore, il existe des parades : recalibrage de votre trajectoire (durée, paliers, différé éventuel), arbitrage de vos échéances actuelles, voire regroupement de crédits pour retrouver de la marge de manœuvre et ré‑ouvrir le champ des possibles.
Ce que votre courtier en crédits dijonnais vous apporte concrètement
Mon travail, c’est de transformer une intention en accord de prêt signé. Je le fais avec méthode :
- je cartographie votre capacité d’emprunt (revenus, charges, reste à vivre) et j’identifie le montage de prêt compatible avec votre projet ;
- je compare, négocie et sécurise des conditions avantageuses pour votre crédit immobilier ;
- je réduis le coût global en alignant l’assurance emprunteur sur votre profil, ce qui représente souvent des milliers d’euros d’économies ;
- j’étudie un regroupement de crédits quand vos mensualités actuelles bloquent le projet ;
- je vous accompagne jusqu’à la signature chez le notaire, avec un pilotage pas‑à‑pas et des explications claires à chaque étape.
Débloquer « les 57 % », une affaire de méthode
Le marché ne basculera pas du jour au lendemain, mais votre dossier peut changer de dimension. Ce qui fait la différence ? La qualité des pièces, la lisibilité de vos revenus, un choix de durée adapté, une assurance ajustée, un calendrier de signature cohérent, et… le bon timing. Les banques reviennent par vagues : quand une enseigne rouvre la conquête, ses tarifs peuvent soudain redevenir très compétitifs. Mon expérience consiste à repérer ces fenêtres de tir et à positionner votre dossier là où il sera le mieux accueilli.
Je m’appelle Patrick Gauchot. Basé à Dijon, j’interviens en local et partout en France. Si vous visez votre premier achat, un changement de logement ou un investissement, parlons‑en. Je vous propose une étude initiale simple et sans engagement via la page contact. Votre rêve de propriété n’a pas d’expiration : avec la bonne stratégie et un montage millimétré, nous pouvons faire mentir la statistique des 57 % et vous faire entrer chez vous, enfin.
